Il faut se foutre publiquement de sa gueule, ne pas hésiter à la railler au grand jour, tourner en dérision ses prétentions d'inquisitrice fébrile dès que l'occasion se présente. Face à cette demi-mongolienne désaxée, il n'existe pas de demi-mesure. J'ai le même comportement avec les laquais au visage camouflé qui rôdent encore dans nos rues : n'oubliez pas que ce sont des poltrons hideux, des couards en phase de décrépitude terminale, des sacs de viande ambulants qui se vendent à prix réduit sur le marché des valeurs humaines. L'humiliation est la seule et unique solution. Je n'oublie pas mes derniers moments de jeunesse réduits en cendre par la bouffonnerie zélée des apôtres du covidisme ; à chaque opportunité qui surgit pour rétablir les lois de l'équilibre naturel, je saute comme un vieux fauve affamé sur sa proie. Je n'incite pas à la violence physique : remboursons-leur seulement la monnaie de leur pièce grâce à des manœuvres psychologiques qui porteront leurs fruits comme une recette se préparant sur le long terme. J'y crois bien volontiers : ces crétins fanatisés doivent se heurter au mur invisible de contradicteurs encore plus fanatiques et plus irréductibles. Sans l'ombre d'un scrupule, sans un miligramme de pitié. Savourez le plat de votre exquise vengeance.