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Bonsoir chers camarades participatifs, je voudrais vous faire part d'une région relativement protégée (jusqu'en 2005 en tout cas) des méfaits du Grand Remplacement.
Petit parisien et ayant toujours vécu parmi la chiasse raciale aux douces effluves de la Capitale d'Empire nommée Paris, j'avais la chance de passer nombre de vacances (d'été et de Noël) dans la résidence secondaire de ma grand-mère située près d'Oizon dans le Cher (18). Outre les multiples souvenirs délicieux qui m'ont forgé, j'ai pu constater assez rapidement les différences qu'il existait ethniquement parlant entre ce bout de campagne et le pandémonium de Paname.
Il va sans dire que le village était composé de gens du cru (avec l'accent berrichon typique qui roule les "R") et de familles plus ou moins bourgeoises venant y passer leurs congés. La grande ville à 10 kilomètres était Aubigny-Sur-Nère (Gros bourg ou petite ville d'environ 5000 âmes) connue principalement pour son château des Stuarts. Là, du blanc sauf quelques nègres que l'on pouvait apercevoir au supermarché du coin et qui déjà tranchaient avec le reste.
En revanche, il était une tradition qui voulait qu'on aille faire un tour tous les 24 décembre dans la "mégalopole" du Cher : Bourges. Bien que parisien donc, j'étais étonné par le nombre de jeunes nègres, de bougnoules ou de blancs racaillisés que l'on pouvait croiser (j'étais naïf et ce type de personnage, pour moi, ne se rencontraient qu'en banlieue ou à Paris et non dans ce coeur de la France!!). Donc Bourges, à l'époque (entre 1995 et 2005) était le point noir de cette région mais je me souviens d'autres bourgs tels Argent-Sur-Sauldre, La Chapelle d'Angillon, Lamotte-Beuvron, Sancerre, Chavignol, etc... où il n'y avait pas boucaque qui vive.
Depuis le décès de ma grand-mère en 2004, je n'ai pas eu l'occasion de revenir dans ce petit paradis qu'on retrouve dans des romans de George Sand ou dans "Le Grand Meaulnes" d'Alain-Fournier. Mais j'ai bien peur que Bourges connaisse de plus en plus d'enclaves occupées et que comme partout ailleurs la marronnisation se fasse de plus en plus "sentir".
Cordialement, chers amis.
Petit parisien et ayant toujours vécu parmi la chiasse raciale aux douces effluves de la Capitale d'Empire nommée Paris, j'avais la chance de passer nombre de vacances (d'été et de Noël) dans la résidence secondaire de ma grand-mère située près d'Oizon dans le Cher (18). Outre les multiples souvenirs délicieux qui m'ont forgé, j'ai pu constater assez rapidement les différences qu'il existait ethniquement parlant entre ce bout de campagne et le pandémonium de Paname.
Il va sans dire que le village était composé de gens du cru (avec l'accent berrichon typique qui roule les "R") et de familles plus ou moins bourgeoises venant y passer leurs congés. La grande ville à 10 kilomètres était Aubigny-Sur-Nère (Gros bourg ou petite ville d'environ 5000 âmes) connue principalement pour son château des Stuarts. Là, du blanc sauf quelques nègres que l'on pouvait apercevoir au supermarché du coin et qui déjà tranchaient avec le reste.
En revanche, il était une tradition qui voulait qu'on aille faire un tour tous les 24 décembre dans la "mégalopole" du Cher : Bourges. Bien que parisien donc, j'étais étonné par le nombre de jeunes nègres, de bougnoules ou de blancs racaillisés que l'on pouvait croiser (j'étais naïf et ce type de personnage, pour moi, ne se rencontraient qu'en banlieue ou à Paris et non dans ce coeur de la France!!). Donc Bourges, à l'époque (entre 1995 et 2005) était le point noir de cette région mais je me souviens d'autres bourgs tels Argent-Sur-Sauldre, La Chapelle d'Angillon, Lamotte-Beuvron, Sancerre, Chavignol, etc... où il n'y avait pas boucaque qui vive.
Depuis le décès de ma grand-mère en 2004, je n'ai pas eu l'occasion de revenir dans ce petit paradis qu'on retrouve dans des romans de George Sand ou dans "Le Grand Meaulnes" d'Alain-Fournier. Mais j'ai bien peur que Bourges connaisse de plus en plus d'enclaves occupées et que comme partout ailleurs la marronnisation se fasse de plus en plus "sentir".
Cordialement, chers amis.