Rouen, ancienne capitale des ducs de Normandie, est tombée bien bas. J'ai eu le grand privilège d'y vivre pour y étudier l'histoire, et sans cette bénéfique prise de contact avec le réel, je serais toujours à mijoter dans le jus du gauchisme ambiant qui m'imprégnait dans mon adolescence.
Rouen se divise en deux parties, séparées par la Seine mais reliées par de nombreuses lignes de transport en commun : une rive nord (la « rive droite » historique et blanche) et une rive sud (la « rive gauche » moderne et afro-bougnoulisée). La rive droite abrite tout ce que la ville a de normand, français, européen et blanc : le patrimoine historique, les musées, les rues médiévales pittoresques, les petits quartiers bourgeois tranquilles. La population y est essentiellement blanche mais les hordes d'afro-bougnoules de la rive-gauche s'y déversent par douzaines chaque jour, grâce aux transports en commun. Malheureusement, l'invasion a d'ores et déjà commencé et la rive droite est chaque année un peu plus gangrénée par les engeances venus de l'autre côté de l'eau (de la Méditerranée ou de la Seine, c'est tout pareil dans notre cas).
Toute la partie de la ville comprise entre l'hôtel de ville et la périphérie est perdue à la cause blanche, les kebab et coiffeurs africains sont légion rue de la République. C'est d'autant plus parlant que ladite rue de la République, par le pont Corneille, se prolonge rive-gauche sous le nom de rue Lafayette, laquelle abrite la plus grande concentration au mètre linéaire de coiffeurs africains de la ville (tous proposant, sans exception, des services de transfert d'argent). Le cœur battant de la ville, le Théâtre des Arts où se croisent les 5 principales lignes de transport en commun de la métropole, est une gigantesque pompe à crasse et à cheveux crépus qui avale et recrache inlassablement ses sbires infernaux dans le centre historique de Rouen. C'est là que de nombreuses agressions et vols sont commis par de vibrants maghrébins désœuvrés et victimes du racisme systémique de la métropole. Du reste, il devient de plus en plus dangereux de sortir après une certaine heure, surtout à certains endroits tels que le parc de l'Hôtel de Ville ou le quartier de la Grand-Mare en périphérie de la ville, fameux pour ses affrontements de bandes.
La rive gauche, quant à elle, est un cloaque puant abandonné de Dieu. S'y croisent en toute liberté les pires espèces sauvages : maghrébins, nègres somalo-comoriens, mûlatrions fièrement promenés en poussette par leurs grands-parents boomers plus blancs que blanc. Il est à noter que – ô surprise – nos chers compatriotes couscous-tajine disposent d'une mosquée chapeautée par les Frères Musulmans, lesquels par leur association-écran jouent un rôle dans le paysage politique de la métropole. Être un blanc de l'autre côté de la Seine, c'est aimer le risque ; y vivre, c'est être suicidaire (surtout pour les femmes). HLM et bureaux de la CAF flambants neufs le long du métro, tous construits à coups de millions subventionnés par l'argent blanc, sont la marque de l'estime que portent les dirigeants écolo-gauchistes de la métropole à leurs sous-races du Tiers-monde.
Du reste, Rouen pourrait être une ville très bien desservie par les transports en commun si les employés de la société de régie n'étaient pas à 95% d'irrécupérables brigands cégéto-communistes se mettant en grève à la moindre occasion. De nombreuses lignes desservent la plupart des points essentiels, et jusque tard dans la nuit pour s'éviter de devoir traverser la jungle à pieds à la sortie du bar. La ville est sale et infestée de rats, les pigeons y sont légion et les clochards et autres putes roumaines pullulent le long des boulevards.
Si l'on prend la peine de s'éloigner un peu de la verrue raciale qu'est Rouen, c'est un très bel arrière-pays qui s'offre au blanc curieux. Les pays de Caux et de Bray offrent un vaste patrimoine rural globalement préservé, et un taux de négrification très en-deça de la moyenne de la grande ville – proche de zéro dans certaines zones. Le terroir y offre une vaste palette de saveurs et de paysages, bien que la population rurale ait durement souffert de la désindustrialisation.
Conclusion : si vous allez en Haute-Normandie, ne vous arrêtez pas à Rouen, visitez la campagne environnante.