Je ne veux pas vous importuner avec le peuple roumain d'aujourd'hui qui est
trop méprisable pour qu'on s'y attarde. Le régime communiste imposé le pistolet
à la temple par Staline en 1945 a poussé ce peuple à détruire tout concept de
travail noble (car celui ci n'était pas récompensé) et à nier la valeur
individuelle de l'homme. Mais les 30 derniers ans de démocratie façon juive ont
été encore pires: le peuple a aussi perdu toute notion de bien commun. Ainsi,
99% des roumains sont devenu trop corrompus et ils ne pensent qu'à leur
portefeuille et à des intérêts mesquins (de clique). Il n'y reste plus grand
chose de noble, sauf quelques traces dormantes d'une ancienne race de souche
complètement européenne (daco-romaine). Mais je me permets de vous parler de la
Roumanie d'il y a 100 ans qui comptait encore des hommes très honorables. Cela
explique pour quoi les roumains ont pu parcourir 1500 km pour se battre à
Stalingrad contre l'homme soviétique, le pantin des juifs. D'autres peuples
plus riches d'Europe ne se sont pas déplacés et aujourd'hui on paye tous
l'addition! C'est votre grand écrivant Céline qui l'a expliqué « Que ça vous
plaise ou pas, l'homme blanc est mort à Stalingrad. Le reste n'est que farce et
discours.» J'espère que vous allez donc supporter mon accent roumain dans cette
lettre et mon expression peut-être un peu maladroite.
Corneliu Zelea Codreanu, peut-être le plus grand roumain qui a jamais existé,
est celui a su tirer les forces de ce peuple pour essayer de bâtir un monde sur
des bases aryennes plus justes. Même Gandalf a cité quelques mots de Codreanu:
« On a les juifs qu'on merite ». Le contexte complet de ces mots est: « Tout comme
les moustiques ne peuvent prospérer et s'installer que dans les marécages,
les premiers ne peuvent prospérer que dans les marécages (intellectuels) de nos
péchés. » Mais ce que je veux partager aujourd'hui avec vous c'est la conclusion
que Codreanu a pu tirer sur le peuple français suite à ses études à Grenoble:
« J'étais venu en France avec l'appréhension de tomber sur un peuple immoral et
putréfié, comme on l'entendait depuis longtemps un peu partout dans le monde. Je
suis aujourd'hui convaincu que le peuple français, à la fois le paysan et
l'habitant des villes, est un peuple d'une morale sévère. L'immoralité
appartient aux étrangers pourris, les riches de tous les peuples du monde,
attirés par Paris et par d'autres grandes villes. La classe dirigeante, à mon
avis, est par contre irrémédiablement compromise, car elle raisonne et agit
sous l'influence et uniquement sous l'influence de la judéo-maçonnerie et de ses
banquiers. La judéo-maçonnerie utilise Paris comme un siège pour le monde tout
entier (Londre avec le rite écossais est seulement une filiale). Cette classe
dirigeante est en rupture avec toute l'histoire de la France et la nation
française. Pour cela, en quittant la France, je faisais une grande
différence entre le peuple français et l'état français maçonnique. Je suis resté
pas seulement avec un amour pour le peuple français, mais aussi avec une
inébranlable croyance en la résurrection et la victoire du peuple français
contre la hydre qui le domine, qui assombrit sa pensée, en suçant la vie
et compromettant son honneur et son futur. »
Si le sujet intéresse, je peux revenir vers vous avec plusieurs pages de
traductions qui décrivent tout son séjour en France vers 1920.
Un (neo-)légionnaire de l'archange Micaël
trop méprisable pour qu'on s'y attarde. Le régime communiste imposé le pistolet
à la temple par Staline en 1945 a poussé ce peuple à détruire tout concept de
travail noble (car celui ci n'était pas récompensé) et à nier la valeur
individuelle de l'homme. Mais les 30 derniers ans de démocratie façon juive ont
été encore pires: le peuple a aussi perdu toute notion de bien commun. Ainsi,
99% des roumains sont devenu trop corrompus et ils ne pensent qu'à leur
portefeuille et à des intérêts mesquins (de clique). Il n'y reste plus grand
chose de noble, sauf quelques traces dormantes d'une ancienne race de souche
complètement européenne (daco-romaine). Mais je me permets de vous parler de la
Roumanie d'il y a 100 ans qui comptait encore des hommes très honorables. Cela
explique pour quoi les roumains ont pu parcourir 1500 km pour se battre à
Stalingrad contre l'homme soviétique, le pantin des juifs. D'autres peuples
plus riches d'Europe ne se sont pas déplacés et aujourd'hui on paye tous
l'addition! C'est votre grand écrivant Céline qui l'a expliqué « Que ça vous
plaise ou pas, l'homme blanc est mort à Stalingrad. Le reste n'est que farce et
discours.» J'espère que vous allez donc supporter mon accent roumain dans cette
lettre et mon expression peut-être un peu maladroite.
Corneliu Zelea Codreanu, peut-être le plus grand roumain qui a jamais existé,
est celui a su tirer les forces de ce peuple pour essayer de bâtir un monde sur
des bases aryennes plus justes. Même Gandalf a cité quelques mots de Codreanu:
« On a les juifs qu'on merite ». Le contexte complet de ces mots est: « Tout comme
les moustiques ne peuvent prospérer et s'installer que dans les marécages,
les premiers ne peuvent prospérer que dans les marécages (intellectuels) de nos
péchés. » Mais ce que je veux partager aujourd'hui avec vous c'est la conclusion
que Codreanu a pu tirer sur le peuple français suite à ses études à Grenoble:
« J'étais venu en France avec l'appréhension de tomber sur un peuple immoral et
putréfié, comme on l'entendait depuis longtemps un peu partout dans le monde. Je
suis aujourd'hui convaincu que le peuple français, à la fois le paysan et
l'habitant des villes, est un peuple d'une morale sévère. L'immoralité
appartient aux étrangers pourris, les riches de tous les peuples du monde,
attirés par Paris et par d'autres grandes villes. La classe dirigeante, à mon
avis, est par contre irrémédiablement compromise, car elle raisonne et agit
sous l'influence et uniquement sous l'influence de la judéo-maçonnerie et de ses
banquiers. La judéo-maçonnerie utilise Paris comme un siège pour le monde tout
entier (Londre avec le rite écossais est seulement une filiale). Cette classe
dirigeante est en rupture avec toute l'histoire de la France et la nation
française. Pour cela, en quittant la France, je faisais une grande
différence entre le peuple français et l'état français maçonnique. Je suis resté
pas seulement avec un amour pour le peuple français, mais aussi avec une
inébranlable croyance en la résurrection et la victoire du peuple français
contre la hydre qui le domine, qui assombrit sa pensée, en suçant la vie
et compromettant son honneur et son futur. »
Si le sujet intéresse, je peux revenir vers vous avec plusieurs pages de
traductions qui décrivent tout son séjour en France vers 1920.
Un (neo-)légionnaire de l'archange Micaël