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Dans une guerre biologique soit tu réduit le nombre de tes adversaires, soit tu augmente le tiens. Si tu ne fais ni l'un ni l'autre tu finis submergé.Je ne pense pas que le salut vienne d'une hausse de la natalité blanche. Ce serait comme tenter de concurrencer nos adversaires sur leur propre terrain.
Tu inventes une opposition qui n'existe pas entre quantité et qualité, tu n'es pas le seul dans ce cas mais c'est un mirage. Nous n'avons pas des descendants de meilleure qualité en ayant moins d'enfants. Les gamins ne se partagent pas les qualités du père, ils en héritent de façon (quasi) égale.Les blancs sont intelligents, ils innovent, ils créent de nouvelles technologies, ils découvrent de nouvelles théories scientifiques, ils apprennent à faire mieux avec moins. Et surtout, ils ont une certaine conscience malthusienne que n'ont pas les autres races : ils sentent qu'il vaut mieux ne pas proliférer comme des lapins dans un territoire fini. Dans la théorie de l'évolution, on parle de stratégie K ou de stratégie r. Les blancs sont du côté K : moins de descendants, mais de qualité, avec de grandes chances de survie. En des temps de forte mortalité infantile (ou non infantile), les blancs faisaient davantage d'enfants, et c'était une réaction normale, qui ne se justifie plus à notre époque. Songez que la population française est à peu près stable depuis plusieurs siècles ; pourquoi voudrions-nous fausser cet équilibre, juste pour concurrencer les noirs à leur propre jeu ?
Les stratégies dont tu parles sont obsolètes dans un monde où le péril n'est plus la mortalité (infantile ou non) mais le remplacement et la submersion génétique.
Dans notre paradigme adopter la stratégie K reviens à laisser un boulevard à tous les sous hommes pour infecter au maximum le pool génétique avec leurs rejetons stupides. C'est d'ailleurs déjà ce qu'il se passe et ça va nous poser problèmes si nous n'arrivons pas à clore hermétiquement notre groupe génétique en empêchant nos descendants de fricoter avec les dechets qui pullulent partout.
D'où le point suivant sur la religion.
Je vais ici parler uniquement en mon nom. Les idées des catholiques les regardent, je ne le suis pas. Je ne suis pas très religieux, un peu mystique, oui, rêveur, mais pas religieux.Quant au retour à la religion comme vecteur d'augmentation de la natalité, c'est aussi une mauvaise idée. Certains auront toujours la foi et cela ne se discute pas. Mais globalement, le progrès scientifique ne peut qu'être corrélé à un recul de la religion, il n'y aura plus jamais de retour en arrière. On peut vouloir un retour à des valeurs spirituelles, à un sens du beau, du vrai, mais je ne crois pas que cela doivent passer par la religion, fût-elle même catholique.
La religion est un outil, un outil de contrôle, ni plus, ni moins. C'est un créateur de pression sociale et nous savons que les femmes, tout particulièrement, sont très sensibles à la pression sociale.
Avoir la foi ou non n'est pas important du moment où la pression du groupe, qu'elle soit sincère ou hypocrite, peu importe, agit sur l'individu pour l'empêcher de nuire à la communautée/race.
Ainsi, pour être plus clair, je ne vois pas la religion comme un ensemble de valeurs morales et spirituelles qui vont nous permettre de faire plus d'enfants mais comme un moyen technique pour tenir nos filles loins des paluches obscures des nègres jusque dans 500 ou 1000 ans et d'ainsi assurer à notre groupe minoritaire une survie pérenne.
Personnellement je ne pense pas que la religion chrétienne soit à même de remplir cet objectif, je pense qu'une nouvelle mystique blanche et européenne doit emerger, une que nos ennemis ne pourront corrompre.
Dans cette optique, une nouvelle religion ne s'opposerait en rien au progrés scientifique et pourrait au contraire l'accompagner en toute harmonie.