Les échanges sur ce fil sont assez déprimants.
Quand on a moins de trente ans en France et que l'on espère se constuire une famille sur des bases viales, les différents paramètres à analyser nous plongent vite dans l'effroi le plus total. Entre les conditions de vie générales, la déliquescence du milieu scolaire, l'omniprésence des activités interlopes ou la vénération systématisée des parasites simiesques, je ne pense pas rester en France pour ma part. Même en essayant de m'implanter dans des zones encore préservées, nous resterons sur une pente glissante. Et, soyons francs : nos "compatriotes" sont des immondices ambulantes sans vergogne pour l'écrasante majorité d'entre eux. Leur adhésion frénétique aux injections de Bourla et aux privations intolérables de libertés que nous subissons me confortant dans ce choix -en germination- depuis plus de deux ans.
De toute façon, je risque de me faire planter par un métèque un jour ou l'autre si je m'éternise en France. Ou par des Gaulois détraqués complètement inféodés aux gredins d'Israël : après tout, la vie d'un fasciste odieux doit laisser tout l'espace nécessaire aux Nègres qui s'autorépliquent sans fin, aux hordes négroïdes les plus infernales, les plus voraces, les plus déchaînées, à toutes les meutes allogènes plus ou moins crépues qui confortent les Blancs occidentaux dans leur désir masochiste d'en découdre avec eux-mêmes. J'oscille entre le tombeau et la cellule dans ce pays livré au néant de la brousse primitive.