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J'ai vu qu' Albert Bourla est plusieurs fois nominé pour le titre de sale juif de l'année :
Sans contester le bien fondé de cette initiative, je pense que son œuvre inachevée est incomprise ou du moins qu’elle mérite un peu de recul - dans le respect de la charte bien sûr - pour être jugée à sa juste valeur.
Premièrement
Il faut reconnaître à Bourla le mérite d’avoir testé son poison, comme jadis le zyklon, en priorité sur les cafards d’Israël.
2 doses, 3 doses, 4 doses… y compris femmes et enfants… il n’y a pas été de main morte.
Seuls quelques vieux youtres ultra-orthodoxes à papillotes ont refusé le vaccin.
Il se sont méfié car ils sont mieux placés qui quiconque pour savoir qu’un youtre est un judas qui préfère l’argent à sa propre race.
Surtout le youtre américanisé : Son appétence pour la corruption peut lui faire vendre sa mère pour une escalope.
Deuxièmement
Ce faisant Albert Bourla a suivi les pas de son illustre prédécesseur Joseph Mengele qui, avant tout le monde, avait trouvé une utilité au youtre : Le RAT DE LABORATOIRE.
Il faut noter que le petit Albert a gravi les marches dans la branche vétérinaire de Pfizer donc, là encore, il est mieux placé qui quiconque pour apprécier le youtre à sa juste valeur.
Troisièmement
Si par malchance (ou par chance selon les points de vue) le poison de Pfizer tourne au fiasco (stérilisation des femmes, maladies auto-immunes, Creutzfeldt-Jakob…) ce n'est pas avec une poignée de barbus à papillotes qu'ils vont se repeupler, Israël sera rayé de la carte fissa et si çà se trouve Albert Bourla aura plus oeuvré pour la pureté de la race que tonton Adolf himself.
En France vu l’engouement qu’ont eu pour ce poison, les youtres médecins, les youtres journalopes et les youtres macronards, Albert Bourla pourrait ridiculiser Pétain en nous débarrassant d’un coup d’un paquet de vermines.
Il resterait les patriotes qui ont davantage refusé de s'inoculer cette saloperie.
Tout ça pour dire qu’il faut prendre un peu du recul avant d’apprécier l’oeuvre de Bourla.
Ah comment ai-je fait pour oublier ce sale youtre de Bourla ?
Il y en a tellement que tous les juifs méritent le titre de sale juif de l’année.
Sans contester le bien fondé de cette initiative, je pense que son œuvre inachevée est incomprise ou du moins qu’elle mérite un peu de recul - dans le respect de la charte bien sûr - pour être jugée à sa juste valeur.
Premièrement
Il faut reconnaître à Bourla le mérite d’avoir testé son poison, comme jadis le zyklon, en priorité sur les cafards d’Israël.
2 doses, 3 doses, 4 doses… y compris femmes et enfants… il n’y a pas été de main morte.
Seuls quelques vieux youtres ultra-orthodoxes à papillotes ont refusé le vaccin.
Il se sont méfié car ils sont mieux placés qui quiconque pour savoir qu’un youtre est un judas qui préfère l’argent à sa propre race.
Surtout le youtre américanisé : Son appétence pour la corruption peut lui faire vendre sa mère pour une escalope.
Deuxièmement
Ce faisant Albert Bourla a suivi les pas de son illustre prédécesseur Joseph Mengele qui, avant tout le monde, avait trouvé une utilité au youtre : Le RAT DE LABORATOIRE.
Il faut noter que le petit Albert a gravi les marches dans la branche vétérinaire de Pfizer donc, là encore, il est mieux placé qui quiconque pour apprécier le youtre à sa juste valeur.
Troisièmement
Si par malchance (ou par chance selon les points de vue) le poison de Pfizer tourne au fiasco (stérilisation des femmes, maladies auto-immunes, Creutzfeldt-Jakob…) ce n'est pas avec une poignée de barbus à papillotes qu'ils vont se repeupler, Israël sera rayé de la carte fissa et si çà se trouve Albert Bourla aura plus oeuvré pour la pureté de la race que tonton Adolf himself.
En France vu l’engouement qu’ont eu pour ce poison, les youtres médecins, les youtres journalopes et les youtres macronards, Albert Bourla pourrait ridiculiser Pétain en nous débarrassant d’un coup d’un paquet de vermines.
Il resterait les patriotes qui ont davantage refusé de s'inoculer cette saloperie.
Tout ça pour dire qu’il faut prendre un peu du recul avant d’apprécier l’oeuvre de Bourla.