Je confirme. Je suis en train de l'écouter. Elle a la maturité suffisante pour dire que les politiciens et les banquiers, même si leur judaité n'est pas traçable avec évidence, agissent de façon juive. Je suis conquis. Si j'ai le temps, je ferai une synthèse de cet entretien.Etonnemment solide idéologiquement pour son âge.
Bonjour Supralunaire, vous parlez espagnol ?Je confirme. Je suis en train de l'écouter. Elle a la maturité suffisante pour dire que les politiciens et les banquiers, même si leur judaité n'est pas traçable avec évidence, agissent de façon juive. Je suis conquis. Si j'ai le temps, je ferai une synthèse de cet entretien.
N'hésitez pas à partager une synthèse avec les camarades !Oui.
Elle normalise le contre-semitisme dd manière fulgurante en l'associant à une frimousse de jeune femme énervée. Ce pourrait être une mulâtresse en France que je serais presque aussi enthousiaste. Cette fille est le panzer des opérations de comm de notre bord. Je ne sais pas si vous réalisez la moisson de nouvelles recrues qu'on pourrait faire avec elle.La tenue, le maquillage, la clope...dommage (cela dit en 2021 elle est soft par rapport à ce qu'on voit dans nos rues et on est quand même loin d'une Estelle Blackpill).
Il est parfaitement logique que la réaction viennent des catégories qu'on croyait acquises aux Juifs. J'ai ouvert un topic sur cette question. Rappelons-nous Dieudonné M'Bala M'bala et des dégâts qu'il a fait dans le politiquement correct. L'homme blanc "You're fucking a white male" est discrédité "démocratiquement". Mais pour autant, le paradis terrestre débarrassé de l'homme blanc est une imposture, et même un enfer. Ceux qui vont ouvrir la porte dans laquelle nous allons nous engouffrer ne sont pas des hommes blancs.Elle normalise le contre-semitisme dd manière fulgurante en l'associant à une frimousse de jeune femme énervée. Ce pourrait être une mulâtresse en France que je serais presque aussi enthousiaste. Cette fille est le panzer des opérations de comm de notre bord. Je ne sais pas si vous réalisez la moisson de nouvelles recrues qu'on pourrait faire avec elle.
Si tu ne rends pas ton devoir avant mercredi l'équipe pédagogique sera dans l'obligation de te mettre zéro.Si j'ai le temps, je ferai une synthèse de cet entretien.
Le journaliste lui demande ensuite si ses idéaux lui viennent de son cadre familial. Elle répond que c’est le contraire. Elle mentionne avoir lu le Contrat Social de Rousseau et d’autres ouvrages de la pensée européenne. « Comme tout le monde à l’école disait que le fascisme était le mal, je m’y suis intéressée par pure curiosité. »- Comment ta vie a changé depuis la fameuse intervention ?
- Je me suis démontrée à moi-même que je me me maintiens ferme dans mes idéaux.
Elle ajoute qu’il n’y a pas besoin d’avoir un doctorat pour chercher dans Wikipedia des listes de magnats en regardant la race dont ils proviennent. Elle mentionne le système monétaire international, le système de la Réserve Fédérale, le président du New York Times, les gens de Hollywood, etc. Hasard ou pas, ils sont de cette race. Mais elle fait la concession indiquant qu’il serait « absurde de condamner un peuple entier », car elle parle d’un certain secteur de la race juive.J’ai dit « Le Juif est le coupable » en parlant de la Division Azul. Comme beaucoup de gens le savent, le communisme est une invention juive. Non seulement Marx, mais la majorité de ses fondateurs et théoriciens venaient de la race juive. En disant cette phrase « Le Juif est coupable », je parlais de ceux contre qui la Division Azul a combattu, je paraphrasais une affiche de la Division Azul de 1942 [qui disait La Russie est le coupable !]. C’est le père du communisme : le Juif est coupable en ce sens. Mais il est aussi coupable de plusieurs des choses qui se passent dans le monde. Je ne dis pas les Juifs, mais le Juif, celui qui appartient à une certaine strate de la « race noble ».
Le journaliste lui demande de préciser sa pensée : pourquoi les Juifs sont-ils expulsés de partout ?Je ne pense pas que la malice soit consubstantielle à la personnalité d’un Juif, mais ce qui est certain, c’est que les textes talmudiques ont dans le viseur un plan de domination mondiale. Je les considère comme coupables parce que beaucoup de personnes ayant beaucoup de pouvoir, qui viennent de familles comme les Rockfeller, les Rothschild, etc. appartiennent à cette race et agissent conformément aux textes quasi-millénaires qui ont régi le comportement de ces messieurs pendant toute l’histoire.
Parce que le problème juif ne vient pas de l’époque d’Hitler. Les Egyptiens les ont expulsés, les Grecs aussi, et Isabelle la catholique et tout au long de l’histoire, il y a eu tant et tant de gouvernants et de pays qui les ont éliminés du pouvoir, pas de leur peuple, mais du pouvoir, de leur influence directe sur la souveraineté. Ils ne les ont pas éliminés pour rien. Ce c’est pas un problème hitlérien, c’est un problème plus ancien que le soleil du jour.
La religion juive ne permet pas l’usure, entre Juifs. Mais elle permet de la pratiquer avec les non-Juifs. Car un verset talmudique dit bien que les non-Juifs doivent être considérés comme des animaux. C’est de la religion, il y a une bonne interprétation et une mauvaise, cela dépend des pratiquants, mais les choses sont écrites. Ils peuvent donc prêter avec intérêt et spéculer avec la misère des gens, en profitant du fait qu’ils ne disposaient pas de cet argent : ils leur ont donné pour ensuite s’enrichir des intérêts composés qui sont aujourd’hui ceux qui dominent l’Euro en Europe, le dollar aux Etats-Unis, ce sont eux qui régissent l’économie mondiale, les intérêts composés. De là les inflations et les guerres. Provoquer une guerre à cause de leurs jeux économiques, voilà de quoi sont coupables les Juifs et d’autres qui ne le sont pas.
Le journaliste et Isabel passent ensuite à l’avenir proche : le procès, la prison, le projet de livre d’Isabel.- Quelle est ton opinion sur l’holocauste ?
- Bon. J’ai un procès qui m’attend bientôt. J’aimerais bien ne pas en avoir un autre (sourire).
- Tu vas écrire un livre si tu vas en prison ?
- Non, il ne s’appellera pas « Mon Combat ». Ce serait de la doctrine politique, qui explique pourquoi j’ai dit cette phrase. Je parlerais du plan Kalergi sur les desseins européens, le système de la réserve fédérale grâce à laquelle cent familles, de race juive mais c’est un hasard, contrôlent l’économie mondiale. Je me centrerais sur la dénonciation de l’influence qu’ont ces messieurs. Grâce à leur argent, car c’est l’arme la plus puissante qu’ils possèdent, ils contrôlent les démocraties européennes, la presse européenne, les tribunaux européens. Je veux dénoncer l’influence de ces gens qui appartiennent à la race noble comme ils disent, les élus, élus pour gouverner le monde.
Je ne condamne pas un peuple entier, je me réfère à ceux qui ont de l’influence sur le monde. Certains ne sont pas Juifs, mais je les considère comme tels. Même quand ils sont catholiques ou autre, même s’ils ne sont pas de race juive, leur manière d’agir me semble juive. La manière d’agir que prônent certains dirigeants, certains gouvernants, présidents de banque, etc.
Le fascisme ne devrait nommer que le mouvement italien, mais comme ce mouvement nouveau qui faisait la synthèse du national et du social ou du collectif a commencé en Italie, la presse a appelé de ce nom tous les mouvements du même genre en Pologne, en Roumanie, en Allemagne, en Espagne, au Mexique. En Espagne, c’est le phalangisme, ou le national-syndicalisme car la Phalange n’est que le nom d’un parti, qui vient des JONS. Je suis Jonsiste. Je suis nationale-socialiste car je crois en patrie et en la justice sociale. Mais en tant qu’Espagnole, je suis Jonsiste. Mais l’idée est la même. Le Jonsisme est une idéologie national-socialiste espagnole, soucieuse des problèmes espagnols. Si tu appliquait le national-socialisme allemand à l’Espagne, tu défendrais l’indépendance catalane. Mais je ne suis pas allemande, je n’ai pas la même définition de la nation que les Allemands. Les Catalans et les Basques ne sont pas de la même race que nous. L’Espagne est un ensemble de plusieurs races.
Le journaliste tique car pour lui ces différences raciales en Espagne ne comptent pas. Il explique que la composante arabe la plus forte n’est pas chez les Andalous, mais chez les Galiciens, ajoutant qu’il y a eu beaucoup d’immigration andalouse chez les Catalans.Les peuples qui étaient en Catalogne n’étaient pas les mêmes que ceux qui étaient en Castille, dès l’époque pré-romaine. Mais l’Espagne a toujours été variée. La seule idée commune à tous les Espagnols, la seule chose qui peut réellement justifier l’Espagne est qu’elle a toujours été un ensemble de langues, de peuples, de races et de coutumes, mais nous nous sommes tous unis à un moment historique car nous avions quelque chose à réaliser aux yeux de l’histoire que nous n’aurions jamais pu réaliser en restant séparés. Malgré nos différences, il nous faut comprendre que la seule chose que nous ayons en commun est l’Espagne et nous ne pouvons pas rompre cette unité, car sans elle l’Espagne mourrait en tant que nation et en tant que société historique. Par conséquent, attenter à l’unité de l’Espagne me semble être un délit passible des pires conséquences. La différence spécifique des Basques n’est pas un problème, c’est une vertu. Ensemble, nous avons construit le plus grand empire du monde.
Elle semble vouloir dire que c’est la fragilité de l’édifice national qui rend d’autant plus précieuse et vitale son armature unitaire.Je ne parlerais pas de nationaliste catalans car ils ne forment pas une nation, mais d’indépendantistes catalans. Les Catalans font partie de quelque chose de beaucoup plus grand que la Catalogne. Les Basques font partie de quelque chose de plus grand que la Vasconie. Même chose pour les gens de Madrid. Ils font partie de l’Espagne. Dans Espagne invertébrée, Ortega y Gasset explique que l’Espagne est faite de petites principautés [taïfas] avec chacune son petit drapeau, et qui ne s’entendent pas les unes les autres.
Répondant à la question initiale du journaliste, elle dit :Ta nature va avoir une connexion spirituelle avec l’endroit où tu es né. L’Espagne crée des guerriers. Nous semblons être une nation de pleutres, mais ce n’est pas le cas. On n’entre pas en Espagne sans sa permission. Napoléon l’a avoué et a dit que c’était sa plus grande erreur. Dans une étude sur l’identité raciale des nations, il est écrit qu’il y a des valeurs, des vertus, des piliers je dirais, qui vont toujours accompagner un peuple, même si celui-ci les oublie. Selon l’endroit où tu es né, où tu as ta race et les racines de ta famille, évidemment si un nègre naît ici il ne va pas devenir espagnol.
Ce livre dit que les Français ont l’élégance, les Anglais ont la méthode, et nous les Espagnols nous avons la noblesse. La noblesse et l’honneur sont les deux caractéristiques qui définissent un Espagnol. Alors oui évidemment, je pense que les peuples ont une personnalité. Ils ont des vertus données par l’histoire. Il y a des nations riches mais qui sont pauvres en cela et qui n’ont pas grand-chose à défendre, d’autres qui sont pauvres mais qui ont beaucoup à défendre : leur génie propre. Aujourd’hui c’est l’époque de la liquidation, mais quand l’Espagne reprendra sa vertu suprême, elle retrouvera sa destinée.
Non, ce n’est pas la meilleure, mais c’est la mienne. Et je la défendrai toujours. Aux yeux de l’Europe, elle a eu une période brillante, mais qui dura très peu de temps. Pendant les 500 dernières années, il y a eu des épisodes glorieux, pendant la guerre d’Espagne par exemple, mais cette guerre n’aurait jamais dû avoir lieu. Elle a débouché sur la situation où nous sommes aujourd’hui.
Considérant que la division du peuple en gauche et droite est un accident dépassable, elle affirme :La gauche n’a pas amélioré le sort du peuple. Il est difficile de devenir indépendant et de fonder une famille avec un salaire répugnant. La gauche s’amuse avec des carabistouilles comme le féminisme post-moderne, le LGTBI, ils trompent les gens en leur faisant croire que l’oppression vient du fait d’être homme ou femme. Je pense que la gauche est peu sociale. La question de la dignité du travailleur les préoccupe assez peu. Léon Degrelle et José Antonio n’ont pas voulu s’identifier à la gauche ou à la droite. La droite et la gauche sont des manières stupides d’englober des formes de pensée.
Elle refuse nettement l’étiquette d’extrême-droite.Autrefois, il y avait des politiques qui n’entraient pas dans cette alternative car elle n’existait pas. La droite et la gauche sont des conséquences d’une répartition qui avait eu lieu dans le parlement français entre démocrates et parlementaires. Je ne suis ni démocrate ni parlementaire. Si la démocratie cessait d’exister en Espagne, il n’y aurait plus de droite et de gauche, il y aurait des tercéristes, même des communistes, mais pas ces doctrines [gauche et droite] qui appartiennent à une branche de la modernité bourgeoise.
Que pense-t-elle du parti Vox ?L’extrême-droite, c’est de pousser à l’extrême la doctrine de droite. Comme je ne suis pas de droite, je n’ai pas de raison de la pousser à l’extrême. Je ne me définirais jamais d’extrême-droite car les théoriciens du fascisme ont toujours voulu se démarquer de la droite. José Antonio disait qu’il préférait recevoir une cicatrice d’un marxiste qu’une couronne de lauriers de la droite. Et Ramiro Ledesma que si la droite gagnait, il quitterait le pays pour vivre dignement, et que si la gauche gagnait, il aurait 99 % de chances de se faire occire, ce qui eut lieu.
Elle poursuit en dénonçant l’arnaque des partis de droite kasher.Ils jouent avec le sentiment national. Tromper les patriotes sincères, c’est ce qu’on peut faire de plus répugnant. Si c’étaient de vrais patriotes, il n’iraient pas à la buvette qu’est le parlement, ils n’accepteraient pas le bazar de la Constitution de 1978. Il ne signeraient pas la mort de l’Espagne pour la vendre à des puissances étrangères et une économie étrangère d’une main avec dans l’autre le drapeau espagnol. Quand la droite gagne, rien ne change. Même chose qu’avec la gauche. Vox trompe le patriote, mais Podemos au moins nie d’emblée toute chose nationale. Ils ne trompent personne du point de vue national, sauf l’ouvrier du point de vue économique. Pourvu que Vox gagne, que l’on voie bien qu’ils ne feront rien.
Elle explique que le système cherche à cadenasser tout le monde dans les partis politiques, ne nous laissant pas d'autres choix que ceux que la démocratie impose pour se préserver. A l’intérieur de ce jeu, l’emploi du mot « extrême » est promu pour fabriquer la peur du troupeau vis-à-vis du fascisme, ou du communisme, afin que ce soit toujours la démocratie qui gagne.Vox comme ses équivalents en Europe, a une conception de la nation qui est très différente de celle du peuple. Or on ne peut pas les séparer. Ce sont des idéologies incomplètes. Ce ne sont pas des idéologies, mais des partis. Ils veulent des parts de l’électorat. Quand la gauche accuse le fascisme d’être l’aboutissement de l’extrême-droite, c’est pour contrer la droite. La droite fait de même avec l’extrême-gauche qui aboutirait au communisme ou à l’anarchie.
Ils ont soutenu des communautés étrangères, israéliennes. Comme l’a montré mon affaire récente, ils soutiennent le peuple élu. L’un d’entre eux se déclare sioniste.
Isabel se fait sûrement des illusions sur le contre-sémitisme de Staline, mais sa détermination révolutionnaire est acérée.- Vous avez un ennemi commun, mais vous êtes ennemis ?
- Oui. Comme Adolf et Staline, ils avaient un ennemi commun. Pas Lénine, qui savait d’où lui venait l’argent. Staline fit une bonne purge. On parle peu d’elle.
Elle est rigolote Isabel- Aucune. J’apprécie la discipline russe, en partie la Corée. Mais je ne me revendique d’aucun.
- Corée du Sud ou du Nord ?
- La bonne !
L’invité répond que les élections ne sont pas hasardeuses et arbitraires, car elles expriment les désirs des électeurs.Un Etat régi par l’exemplarité. A travers un Etat et un leader qui donne l’exemple, le peuple voudra le suivre, parce que le peuple sait qu’il est supérieur, comme cela a eu lieu dans l’Histoire, quand le dirigeant n’était pas choisi par une tombola, un pur hasard électoral. Il y avait un régime qui perdurait, parce qu’il apportait de bonnes choses à son peuple et à sa nation.
Abordant la question de l’expansionnisme, elle répond qu’il faut d’abord s’occuper de sa propre maison, avant de parler d’empire. « Nous devrions nous occuper de l’Europe et de notre civilisation avant les questions d’empire. » Elle préconise toutefois une influence spirituelle sur les pays d’Amérique du Sud, mais pas de les gouverner littéralement. « Il faut d’abord avoir une nation forte et une Europe forte. »- Une référence ?
- Mon système parfait serait le jonsisme, qui n’a jamais été matérialisé. Le plus ressemblant est le national-socialisme allemand, avec des caractéristiques spécifiquement espagnoles.
Juste après, elle prend l'exemple du Reich et du Führer.- Que ferais-tu de ceux qui s’opposeraient à ce système peu défini ?
- Ce n’est pas un système indéfini. C’est le système national-socialiste. Que tous les instruments soient au service de la patrie et du peuple et pourvoient à tous leurs besoins. Je te parle de valeurs, de tradition, d’éducation, d’économie, de tout. C’est un Etat parfait.
- Dans cet Etat parfait, la diversité idéologique est-elle permise ? Il y a une liberté d’expression ? Il y a des projets distincts ?
- Non, car l’État est la voix de la nation et du peuple. Nous avons besoin d’un peuple sain et d’une nation saine. Par conséquent, cet Etat serait parfait et personne ne peut s’opposer à la perfection. Evidemment, il y aura ceux qui voudront en finir avec cette nation.
- Cet Etat est un peu utopique, non ?
- Oui. Je considère qu’il est utopique parce que notre société est très malade. Mais la maladie, ça se soigne.
L’invité rétorque que cet aspect est anecdotique, car le dirigeant de Vox rassemble lui aussi beaucoup de gens à ses meetings.- As-tu un exemple dans le passé d’un Etat si parfait et magnanime que personne ne pût s’y opposer.
- Oui. Indépendamment de la manière dont ils parlent de lui aujourd’hui, parce qu’ils l’ont vaincu, ils l’ont brisé, ils ont brisé des millions d’Allemands, ils ont brisé le rêve de millions d’Européens…
- Dans une guerre mondiale...
- Provoquée. Et de fait, il avait dit qu’il n’avait jamais voulu cette guerre et Churchill a menti. Mais on ne parle jamais de cela, ni du système d’économie naturelle de Gottfried Feder. De fait, le système dont je parle était si parfait qu’un peuple tout entier le soutenait. On n’a jamais vu autant de gens aller écouter un orateur dans un meeting qu’à cette époque.
Je te donne un autre exemple. Hitler se déplaçait sans protection. Il n’avait pas des centaines de gardes du corps. Ce n’est pas le cas du pape, car les gens le détestent.
- Tu te réfères à la spiritualité. A la religion ? C’est nébuleux.
- Je me réfère à des valeurs qui sont au dessus de nos personnes, au dessus de notre temps. Je me réfère au génie hispanique, à la personnalité de la nation, ses valeurs les plus intimes qu’il ne va jamais oublier, qui vont ressurgir parce qu’elles sont dans son sang. Quand je parle de spiritualité, je me réfère à l’âme, à l’âme de la nation et du peuple.
- Ce sont des valeurs très abstraites, très difficiles à définir et à saisir en concepts.
- A notre époque, oui c’est difficile à comprendre. Nous nous intéressons au cours du Bitcoin. Nous sommes savants en choses mesurables, mais ignorants dans les choses de l’esprit. Comme le dit Primo de Rivera, « tout processus historique est un processus religieux », mais il ne l’entend pas au sens des religions établies, mais dans le sens de l’esprit. Notre siècle ne comprend pas cela, car nous ne sommes pas habitués à l’écouter.
Elle cite Kalergi écrivant que la race blanche doit disparaître au profit de mulâtres dociles.Le racisme aime la race, comme le communiste aime le communisme, le fasciste aime le fascisme. Le racisme au sens originel est de croire à l’existence des races et de vouloir les préserver. L’antiracisme est vraiment anti-raciste, il veut en finir avec les races. Il suffit d’allumer la télévision, dans n’importe quelle publicité on voit des couples de diverses parties du monde. Jamais un couple homogène. C’est mauvais pour la civilisation. Un enfant mulâtre ne pourra pas s’identifier ni à une nation ni à une autre. Il ne se sentira faire partie de rien. Il ne pourra pas se défendre quand on tentera d’imposer un nouvel ordre mondial. Il n’aura rien à défendre. C’est le plan Kalergi, le parrain de l’union européenne. Le livre est interdit mais on trouve des extraits… Un plan terrible.
excellent c'qu'elle dit ! notamment le passage sur l'extrême droite.. "je ne suis pas de droite, je ne vois pas pourquoi je le pousserai à l'extrême".. c'est effectivement le système politico-médiatique qui place à dessein (pour entretenir le jeu perpétuel du gauche vs droite) le fascisme ou le nationalisme à l'extrême droite alors que la droite elle même ne connait ni le social, ni le national en tout cas dans sa forme actuelleLe journaliste lui demande quelle est la différence du point de vue de la race entre un Catalan et un Andalou.
Le journaliste tique car pour lui ces différences raciales en Espagne ne comptent pas. Il explique que la composante arabe la plus forte n’est pas chez les Andalous, mais chez les Galiciens, ajoutant qu’il y a eu beaucoup d’immigration andalouse chez les Catalans.
Elle semble vouloir dire que c’est la fragilité de l’édifice national qui rend d’autant plus précieuse et vitale son armature unitaire.
Elle poursuit en expliquant que le sentiment indépendantiste ne tombe pas du ciel, mentionnant l’abandon des fueros [libertés régionales basques] par les Bourbons au XIXème siècle. Une nation est une « unité de destin dans l’universel » d’après José Antonio Primo de Rivera. Isabel parle de l’unité espagnole avec foi et ardeur. Mais elle ne semble pas prendre en compte que si l’histoire a noué cette unité, l’histoire peut aussi la dénouer.
A 28’46, le journaliste lui demande si l’Espagne est à ses yeux la meilleure nation.
Répondant à la question initiale du journaliste, elle dit :
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C. LA DROITE, LA GAUCHE, LE FASCISME
A 32’36, l’interviewer lui demande de se situer sur le spectre politique, en rappelant qu’elle s’est prononcée en faveur du collectivisme et de l’anti-capitalisme. Est-elle de gauche ?
Elle refuse cette alternative en expliquant qu’étant nationale et socialiste, elle ne peut être pour la gauche qui est antinationale ni pour la droite qui est antisociale. Elle ne peut soutenir la gauche car celle-ci n’a rien de socialiste et qu’on ne peut pas faire plus anti-nationale qu’elle. Elle ajoute que ce qui distingue son camp de la gauche, c’est que celle-ci est matérialistes et n’a rien de spirituel.
Considérant que la division du peuple en gauche et droite est un accident dépassable, elle affirme :
Elle refuse nettement l’étiquette d’extrême-droite.
Que pense-t-elle du parti Vox ?
Elle poursuit en dénonçant l’arnaque des partis de droite kasher.
Elle affirme que Vox est au service d’une puissance étrangère
Ce c’est pas un problème hitlérien, c’est un problème plus ancien que le soleil du jour.
Même quand ils sont catholiques ou autre, même s’ils ne sont pas de race juive, leur manière d’agir me semble juive.
Dans une étude sur l’identité raciale des nations, il est écrit qu’il y a des valeurs, des vertus, des piliers je dirais, qui vont toujours accompagner un peuple, même si celui-ci les oublie. Selon l’endroit où tu es né, où tu as ta race et les racines de ta famille, évidemment si un nègre naît ici il ne va pas devenir espagnol.
La gauche s’amuse avec des carabistouilles comme le féminisme post-moderne, le LGTBI, ils trompent les gens en leur faisant croire que l’oppression vient du fait d’être homme ou femme
Vox joue avec le sentiment national. Tromper les patriotes sincères, c’est ce qu’on peut faire de plus répugnant. Si c’étaient de vrais patriotes, il n’iraient pas à la buvette qu’est le parlement, ils n’accepteraient pas le bazar de la Constitution de 1978.
Ce ne sont pas des idéologies, mais des partis. Ils veulent des parts de l’électorat(...) ils font que tout le monde soit encadré dans les partis politiques que la démocratie nous offre dans toute son amplitude.(...) Ils ont soutenu des communautés étrangères, israéliennes. Comme l’a montré mon affaire récente, ils soutiennent le peuple élu. L’un d’entre eux se déclare sioniste.
Oui. Comme Adolf et Staline, ils avaient un ennemi commun. Pas Lénine, qui savait d’où lui venait l’argent. Staline fit une bonne purge. On parle peu d’elle.
- Corée du Sud ou du Nord ?
- La bonne !
où le dirigeant n’était pas choisi par une tombola