En terre d'Islam, en Arabie Saoudite par exemple, c'eût été la peine capitale sans discussion.
elle n'y aurait pas coupé, si j'ose dire, puisque la sentence est exécutoire par le moyen du sabre, en place publique.
Quel que soit le statut social de l'épouse relapse devenue meurtrière.
Ces gens savent vivre.
Ce qui est curieux, c'est que l'homme a exactement fait ce que tout bon musulman doit faire pour redresser l'épouse rebelle : les injonctions, les réprimandes, l'enfermement, avec des châtiments corporels peu soutenus, et pas sur le visage.
Résultat des courses : la renègade, l'esclave maronne surine le taulier.
Le monde à l'envers.