Je confirme pour les Grésilles, c'est un quartier à métèques. Il a été historiquement bougnoulisé dans les années 60 et 70 par des envahisseurs majoritairement algériens et marocains, puis plus récemment négrifié. Vous y croiserez des djellabas (surtout le vendredi) et des fatmas voilées. De plus, des voitures y crament fréquemment.
Néanmoins, il s'y trouve beaucoup moins de wesh-wesh qu'il y a 40 ans, la municipalité ayant depuis entrepris une politique de mixité raciale. Ainsi, en journée, beaucoup d'étudiants blancs viennent aux Grésilles car le lycée du quartier prépare au bac S et possède des BTS et des classes préparatoires.
D'ailleurs, la présentation du quartier par les journalistes d'État m'a bien fait marré. À partir de 3:42, ils ont mis en musique de fond du folk alternatif arabo-tunisien (Yuma - Smek).
Courage camarade, si sa peut t'aider, dit toi que tu n'es pas seul au pays du gaz moutard.En rentrant ce soir d'un petit apero, une voiture s'arrête à mon niveau, le conducteur baisse la vitre me regarde et m'interpelle " t'es avec le gang de fachos ?"
Je tourne la tête et entrevoi un faciès typique d'algerien haineux..
Je le fixe, hausse les épaules et continue ma route. il remonte sa vitre et repart.. en marchant je me rend compte qu'il était à la recherche de quelqu'un, sûrement avec d'autres rats... reverse ratonnade... je rentre chez moi, c'est vraiment un non retour
J'en peux plus.. je sais qu'il est interdit de se rencontrer mais si je pouvais avoir un indice.. mon horizon l' isolement ideologique la total dépression.
C'est pas très fun je sais
Vive la GBB
En rentrant ce soir d'un petit apero, une voiture s'arrête à mon niveau, le conducteur baisse la vitre me regarde et m'interpelle " t'es avec le gang de fachos ?"
Je tourne la tête et entrevoi un faciès typique d'algerien haineux..
Je le fixe, hausse les épaules et continue ma route. il remonte sa vitre et repart.. en marchant je me rend compte qu'il était à la recherche de quelqu'un, sûrement avec d'autres rats... reverse ratonnade... je rentre chez moi, c'est vraiment un non retour
En rentrant ce soir d'un petit apero, une voiture s'arrête à mon niveau, le conducteur baisse la vitre me regarde et m'interpelle " t'es avec le gang de fachos ?"
Je tourne la tête et entrevoi un faciès typique d'algerien haineux..
Je le fixe, hausse les épaules et continue ma route. il remonte sa vitre et repart.. en marchant je me rend compte qu'il était à la recherche de quelqu'un, sûrement avec d'autres rats... reverse ratonnade... je rentre chez moi, c'est vraiment un non retour
J'en peux plus.. je sais qu'il est interdit de se rencontrer mais si je pouvais avoir un indice.. mon horizon l' isolement ideologique la total dépression.
C'est pas très fun je sais
Vive la GBB
eh oui les rôles sont parfois inversés; On en n'est là, grand remplacement oblige! mais relativise camarade il ne t'ais heureusement rien arrivé.En rentrant ce soir d'un petit apero, une voiture s'arrête à mon niveau, le conducteur baisse la vitre me regarde et m'interpelle " t'es avec le gang de fachos ?"
Je tourne la tête et entrevoi un faciès typique d'algerien haineux..
Je le fixe, hausse les épaules et continue ma route. il remonte sa vitre et repart.. en marchant je me rend compte qu'il était à la recherche de quelqu'un, sûrement avec d'autres rats... reverse ratonnade... je rentre chez moi, c'est vraiment un non retour
J'en peux plus.. je sais qu'il est interdit de se rencontrer mais si je pouvais avoir un indice.. mon horizon l' isolement ideologique la total dépression.
C'est pas très fun je sais
Vive la GBB
Dijon c'est une ville qui à été récemment jumelée à Grozny me semble t-ilSalut à tous !
Je pourrais rapidement parler de Dijon, que je connais assez bien, même je n'en suis pas originaire. D'autres démocrates pourront compléter ce post.
Jusqu'à il y a encore 10 ans, je dirais que c'était une ville relativement épargnée par les chances pour la Fronce, excepté dans les quartiers historiquement bougnoulisés de la ville (Grésilles et Fontaine d'Ouche) ainsi que la banlieue rose/rouge de Chenôve.
Le quartier des Grésilles, à proximité de la fac et du CHU, était connu il y a 40 ans pour être particulièrement chaud, mais il semble que les choses se soient quelque peu calmées (même si la composition raciale désastreuse du quartier n'a pas changé) et que la racaille soit désormais en pleine forme du côté de la Fontaine d'Ouche. Les trafics de drogue subsistent cependant aux Grésilles (je me suis moi-même fait proposer du shit un paquet de fois simplement en me promenant là-bas).
Niveau politique, Dijon est une ville socialiste. Je pense que cela est en partie dû à la population étudiante de la ville, relativement importante. Il s'agit non seulement du plus grand campus en Bourgogne, mais des étudiants d'autres régions voisines (Franche-Comté, Champagne) viennent également étudier ici. C'est un endroit fort sympathique pour effectuer ses études, si vous pouvez supporter les nanas des facs de "sciences" humaines, stéréotype de la "art school girl" à lunettes un peu salope sur les bords et amatrice de littérature marxiste. Les soirées étudiantes sont en revanche vraiment cool, je dois l'avouer.
La génération 30-50 ans me semble plus raisonnable et plus "de droite" mentalement, mais ce n'est qu'une impression. Les gens peuvent paraître un peu froids de prime abord (c'est en tout cas ce qu'il se dit) mais tout à fait aimables dès qu'on apprend à les connaître.
Pour résumer, malgré le gauchisme mental assez présent à Dijon, on peut se promener sans risque à toute heure de la nuit, excepté peut-être dans les 2 quartiers pré-cités (Grésilles et Fontaine d'Ouche) si vous êtes une femme. Cela reste une ville très agréable malgré le changement de population qui se fait de plus en plus sentir depuis une dizaine d'années.
PS : le centre-ville est très beau et Dijon compte de magnifiques édifices religieux qui valent le coup d'oeil.
C'est sur le square Darcy ? coté en face de l'hôtel Sofitel la Cloche ?Une nouvelle exposition de photos s'est installée ces derniers jours sur les grilles du jardin Darcy, à Dijon. Le collectif « droit des femmes 21 » interpelle à partir de scènes de vie photographiées où les rôles habituels des femmes et des hommes sont inversés.
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Pour rappel, la ville de Dijon est doublement labellisée « Diversité » et « Égalité professionnelle Femmes-Hommes » et est très attachée à ces valeurs. Des interventions sont d’ailleurs programmées dans plusieurs établissements scolaires pour évoquer ces sujets.