Captain Harlock
Démocratie Participative
31 mars 2021
Vivre dans une vaginocratie xénophile suppose de procéder à des changements sociétaux drastiques.
La journaliste Tampax Aude Lorriaux a tenu à montrer sa culotte ensanglantée pour agrémenter un article sur les nouvelles exigences de la bourgeoisie féministe : faire la grasse matinée une fois par mois aux frais des hommes blancs.
Si les juifs parlent constamment de l’holocauste et les noirs de leur peau noire, les femmes blanches quant à elles ne parlent que d’une chose : leur chatte.
C’est la raison pour laquelle les femmes n’ont jamais produit un seul esprit capable de de créer une pensée philosophique ou artistique notable.
Aude Lorriaux nous montre donc un vieux tampon imbibé de menstrues et pense avoir fait une déclaration mémorable face à l’histoire.
Vous et moi ne voyons qu’un spectacle déjà trop souvent croisé dans des toilettes publiques quand une garce mal éduquée a laissé son torchon à gigot au fond de la cuvette.
Fière de son œuvre, Aude Lorriaux a écrit un (très) long article sur son tampon usé et ce que nous devons lui donner en échange pour nous l’avoir mis sous le nez.
20 Minutes :
L’observateur attentif remarque qu’il est virtuellement impossible, en dehors du phénotype, de distinguer les nègres des femmes blanches.
Les deux ont un rapport au monde primitif qui est limité à un attribut biologique qu’ils fétichisent et qui définit exclusivement leur rapport à leur environnement : leur peau noire pour les noirs et leur vagin pour les femmes.
Les noirs parlent toute leur vie de leur peau noire.
Les femmes parlent toute leur vie de leur vagin, tout spécialement quand elles prétendent parler d’autre chose.
Mais surtout, les nègres comme les femmes blanches exigent, sur la base de cet appendice biologique qui leur tient lieu de vision du monde, d’avoir des trucs gratuits*.
*Un truc gratuit en démocratie est un truc payé par des hommes blancs à la sueur de leur front.
Elise a d’autres propositions : forcer les hommes a trempé leur pénis dans du sang une fois par mois.
C’est effectivement ce qu’il y a de plus dégueulasse.
Mais il y a des nuances : une femme obèse non épilée qui saigne est beaucoup plus dégueulasse qu’une femme svelte épilée qui saigne.
Toujours est-il que les congés mensuels Häagen-Dazs sont pour ainsi dire actés.
Dans les démocraties juives, les médias juifs annoncent aux paysans les décisions de la nomenklatura par le biais de « sondages exclusifs » qui apprennent à la plèbe ce qu’elle pense en exclusivité.
Les entreprises vont devoir gérer ces nouvelles journées aléatoires du mieux qu’elles peuvent tandis que la dette française devra éponger ces menstrues.
De toute façon, quelques milliards de plus ou de moins, qu’est-ce que ça change ?
Le plus important, c’est de bâtir une société sur le concept du tampax imbibé de sang faisandé.
Cette démocratie Tampax va d’ailleurs devoir être exporté. La prochaine guerre menée par l’armada navale alliée, contre un pays musulman ou la Chine, devra non seulement veiller à l’édification du culte du pénis noir mais aussi à la construction d’une démocratie ovarienne digne de ce nom.
Commentez l’article sur EELB.su
Continue reading...